Ici, on aime pas les grosses fallopes !

Et celui qui rigole pas est juif pédophile et méchant.

mercredi 12 mai 2010

Short&Entertaining

Par un beau matin, un beau jour de Printemps 1985, un homme croise une femme à la ferme du Poulaud, dans la contré qui sera apellé Braise en souci de coïncidences fortes étranges avec une réalité peu semblable.

Cet homme, c'est Jean-Titou.
Cet femme, c'est Tati-Maman.

Dès le premier regard c'est le coup de foudre, s'occupant des cochons, Jean-Titou que nous apellerons JeanT sait comment s'y prendre avec les femmes du pays de Braise, il va voir son père et lui demande : "Papa, mais qui est donc cette somptueuse demoiselle qui me parait si bien aise dans ses vetements de velours impeccables?"

"Ferme ta gueule et va laver le cul des vaches" lui annonce t'il gentiment.

JeanT pris de rage, pense à quelque chose. A partir et retrouver cette somptueuse créature. Seulement il ne sait rien d'elle. Que lui importe, il quitte le domicile familliale et décide de partir à sa recherche.

Elle s'apelle Tati-Maman et est vendeuse de beignets sur la plage, elle était à la plage pour utiliser la graisse de chiens et la donner à manger à sa perruche, une perruche nomné Wilfried.
C'est Patriciacacacaca qui donne cette précieuse information à JeanT.
C'est grâce à elle qu'ils se rencontrent.
Depuis c'est le grand amour.

Une vie en paisible banlieue plus tard, ils ont un enfant, puis deux.

Interessons nous au second.



Intelligement prénomné Maxime en raison de sa grandeur (Max voulant dire maximum), ce terrible enfant à fait des siennes du haut de ses 17 ans, tour à tour fino, tour à tour gangster mais tour à tour pas très généreux quand il s'agit de donner des cigarettes à son ami mature.

Le drame de sa vie c'est la cigarette, l'alcool et les femmes.

Si il ne peut pas se vanter d'avoir connu l'amour, il peut se vanter de son impressionante collection de Science&Vie, "Junior", précise t'il quand on se complait à lui demander. Ce n'est pas lui qui avouera à sa mère son attirance pour les Philip Morris.
Grand collectionneur de femmes, il va de galaxie en galaxie conquérir toujours plus de femelles pour les mettre dans son "seau à putes" comme il se plait tant à l'apeller les jours d'automne devant le dernier exemplaire de Tintin "ré-edition 98, t'en trouveras pas beaucoup des comme ça".
Fin gourmet, toujours une boite de thons dans la poche en cas de petite faim, il n'est pas prêteur, sauf quand il s'agit de stylo billes ou de crottes de nez.

Si on est convaincu qu'il finira heureux avec 3 enfants dans une paisible villa de la Braise, lui rêve de rock'n'roll de sitar turc et de Daniel Balavoine.



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