Aussi utile qu'un ventilo un jour de canicule, nombreux furent ceux qui l'ajoutèrent sur facebook après avoir visionner ses exploits pendant le concours du plus gros mangeur de boudin à St Mare De Réno.
Si la omination d'une futur victoire aux championnats olympiques des obèses ne lui fait pas peur, Julius sait qu'il peut compter sur son meilleur ami de toujours : le saucisson, ou le "sauciflard bridou" comme il se plait tant à l'apeller devant notre micro.
Le défi ne lui fait pas peur, comme il l'écrit si bien au stylo sur toutes les tables du collège Edmond Mont Mont de Glaziou.
"Manger, c'est une chose, mais chier la tonne de boudin que j'descend, c'est une autre histoire" nous confit-il, un jour de mélancolie.
C'est vrai qu'il repense à son père ; lui aussi mangeur de saucisses, mais avec son mentor : Hervé, il a trouver une autre figure maternel.
Mais depuis peu, Julius à une autre passion, les pipes au miel, en effet, devenu addict et drogué, Julius n'hésite pas à se prostituer auprès des mères juives de son quartier pour subvensionner ses besoins en fellations a la crème d'abeille.
"Moi ça me dérange pas, du moment que j'ai ma PIPOMIAIL"
Les championnats approchant, Julius ira surement en cure à la fin du semestre, mais la question est : Le boudin est il pour lui, du passé?
"Surement pas! D'ailleurs une pipe au boudin, y'a rien de mieux, si, peut-être une PIPOMIAIL"
Voila qui donne le ton pour les prochains championnats.
Dans notre prochain dossier : "Les roux, faut-il s'en méfier ?"
Ah les trous du cul et les pipes au miel ça te plait ça hein !
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