Mon combat

S'il est un fléau que certaines personnes se plairont à apeller "hippie", d'autres personnes plus imaginatives et subtils se complaieront à les nomner "jardin vivant", "enculé de manouche fumeur de joints" ou "tarlouzes de cheveux longs".

Il est un problème que nous ne pouvons ignorer plus longtemps, à l'heure où les guitares sèches hantent les soirées baptisés "eau écarlate", à l'heure ou l'herbe rigolote dépasse la consomnation de poudre blanche engloutit par les douces narines bubonnaires d'un enfant accro à la poudre, il est temps de dire stop.

Stop a la guitare sèche, pour jouer du Keziah Jones du Revolver ou pire : une chanson avec "Love" ou "Smoke" dans son titre ("Smoke the love" de Peep Durdle ne marche pas non plus).

Stop au tabac roulé, fléau du capitalisme, car rouler c'est perdre du temps, et le temps c'est d'l'argent enculé de gitan.

Stop aux sarouels, ami du kidnapping d'enfant, en effet, on peut aisément dissimuler (et non pas couper à travers champ) un nourisson dans un sac à patates que les fumeurs d'herbe s'octroîent en guise de pantalon.

Stop aux dreads, déchet de l'humanité, véritable nid à saloperies, syphilis, poux et Jean-Claude Tison.

Stop aux couleurs jamaicaines trop fièrement éxhiber, alors que les jamaicains sont des putains de nazis qui violent des enfants et mangent les grand-pères.

Stop à la raçe de hippie la plus mauvaise : celle de l'hippie-écolo, car on en a marre de ne plus pouvoir bouffer McDonald's tranquillement sans se faire engrainer par un putain de dreadeu qui te dira :

"Tu viens d'enlever la forêt amazonienne man! c'est pas cool! Peace! goûte à mon sandwich fait maison avec du pain bio et de la viande 100% végétal". Marre de ne plus pouvoir jeter ses papiers dans la rue sans se faire aussi emmerder par des pédés en tongs et sarouels.

STOP.

Méfiez vous plus particulièremet de ces 3 individus.