L'article minimal

Amis à MDMA ou LMDD, bonsoir.

Un sujet me tiens particulièrement à coeur ce soir: la dérive d'un courant (littéraire, musical, etc) garde-t-elle sa dimension artistique?

Bien que nombre d'incultes illétrés ont prêté aux artistes suprématistes (cette forme d'art consistant à plonger un tableau blanc dans de la peinture noire quelques minutes pour ensuite l'exposer) une volonté de cacher leur désespérante et navrante nullité picturale, LMDD s'insurge et dit "NON"

L'art n'a pas de frontière, c'est pas de notre faute si vous êtes cons.

Ce ne sont pas les camarades Ponce et Mustard qui diront le contraire

Kasimir Malevitch, inventeur du suprématisme créa en 1915 une toile dés lors devenue célèbre:

"Un carré noir peut-il cacher mon manque de talent du à mes déceptions sentimentales?"

Toile aussi nommée: "Un carré noir peut en cacher un autre"

De même, que penser de la musique minimale? Oh, elle n'a certainement pas été crée, contrairement à la légende, pas une demi-douzaine de singe hurleur cherchant à créer un courant musical afin de justifier leur amour immodéré de la drogue et de l'inceste.

Ce n'est surtout pas Pierre Ponce ou Mustard Professor qui vous diront le contraire.

Enfin, après la peinture et la musique minimale, je suis fier de vous présenter: la littérature minimale:

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Édifiant, n'est-ce pas? J'espère que ce court passage de littérature alternative vous a savoureusement réjouit. Désormais, tout mes articles seront écrit en binaire.

En conclusion, amis à prix ou à palace, n'écoutez pas tout ces cons qui prétendent que le suprématisme n'est pas de l'art, que la littérature minimale n'est pas de l'art, que la musique minimale n'est pas de l'art.

Ces formes d'expressions culturelles ne sont absolument pas un creuset d'enflure qui démolissent le travail minutieux de générations d'artistes méconnus enfonçant dans l'opinion public l'idée selon quoi l'art is shitting. N'écoutons pas ces gens là.

Ce n'est pas moi qui vous dirait le contraire.

Amis du nouvel an, 1001011.