(Cette superbe chemise de pangolin, je l'ai mise pour habiller cet article. C'est classieux et ça impressionne le péquenot.)Amis à souffre ou à fifres, bonsoir.
Bon. Voila. De retour de vacance, l'envie s'impose à moi de dégobiller un article magistral et définitif sur ma merveilleuse retraite de trois semaines dans l'abbaye du Saint-Crispin dans le pittoresque village de Marenne, en charentes-maritimes.
Saurais-je vous narrer nos longues veillées au coin du feu à chanter de nos voix viriles et éraillées des chants pour le seigneur? Pourrais-je vous raconter la légende du spasme-sur-l'herbe, terrible et légendaire animal du 7 rue A*dré Ro*ss*n (j'ai censuré, sinon ça fait pas sérieux)? Aurais-je le courage de vous conter l'ineffable fable qui court dans les etroits couloirs de l'abbaye d'une certaine Gustine qui aurait perdu sa culotte?
Non.
Ce soir on va parler math, trigonométrie, nombres et putes sur la raie d'une coke.
Alors, commençons par du facile. Du mignon. Du mignonet.
Les nombres complexes.
Un nombre complexe s'écrit sous forme algébrique z=a+ib où a et b sont deux réels et i le nombre imaginaire tel que i au carré (on m'a subtilisé ma touche servant à inscrire un subtil deux au dessus d'un chiffre afin de le mettre au carré. Putains de robots juifs) =-1
Jusque là, vous en conviendrez rien, rien de bien effrayant. Attention ça se corse (fromage corse? terroriste corse? Impossible de trouver un jeu de mot approprié. Je pourrais dire Juif corse, ça passe partout mais tout de même ça n'est pas très chrétien. Pufpuf)
Continuons.
L'ensemble des nombres complexes est noté "C"
"a" s'appelle la partie ****** de z et se note Re (*)
"b" s'appelle la ****** imaginaire de z et se note ** (z)
Notez que afin de corser (...non rien) cette explication j'ai remplacé les termes par des pointillés. Ça vous fait travailler l'encéphale et ça me permet de pas me faire chier à écrire des mots pleins de lettres (point d'exclamation, à la ligne)
Comme je suis pas la moitie d'un salaud, je vous fournis l'exemple.
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Exemple: z=4 i; Re(z)=0; Im(z)=4
Donc, z est un imaginaire pur.
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Bon, continuons l'explication.
Le ******* d'un ********
z=a+ib (petite flèche vers l'avant signifiant l'approche de l'A10, direction Paris kilomètre 439) z=a-*, sachant qu'on ****** simplement le ****** de la ******* imagi***.
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C'est bon là? Vous avez compris?
Bon.
Ca vous fait chier hein?
Amis à picrates ou à godet, bonsoir.
